Saisons
L e vieil arbre. Regarde, toi qui aurait tant aimé, toi qui l’aurait tant aimé, poser ses quelques feuilles, Et d’une clarté fiévreuse, presque belliqueuse, L’aurore frapper ses mains, dont le cœur se souvient, Quel cœur peut oublier, le temps qui fait...